Nadia, très occidentalisée, retoune à Fès, qu’elle a quitté depuis de nombreuses années, pour assister son père mourant. La maison de son enfance lui parle. Les tableaux de sa mère (française), morte jeune, la retiennent. Elle se rend compte qu’elle est peut-être passée à côté de l’essentiel. Elle fait, lors des funérailles de son père, la connaissance de Kirana, qui psalmodie le Coran. Une amitié naît. Nadia redécouvre la religion musulmane à travers le soufisme. Les deux femmes se passionnent pour le projet d’ouverture d’une zaouia.