Un film sur la souffrance mentale en Algérie. « Chaque jour à travers leur pratique professionnelle, les psychiatres… sont confrontés plus encore que d’autres au malaise de la société. Ils sont parmi les premiers à en observer les symptômes, à tenter de guérir les malades qui viennent consulter, à comprendre les raisons de ces « failles » mais ils restent aussi désarmés que d’autres pour guérir cette société… À travers ce film, il ne s’agit pas de traiter des événements de l’actualité la plus récente en Algérie mais plutôt de percevoir et de mettre en évidence les courants souterrains qui travaillent cette société et alimentent sa crise… ». Un film que le cinéaste dédie à son père, un des fondateurs de la psychiatrie algérienne.