Edito

Les 16 films proposés pendant ces 4 jours sont une introduction à l’histoire du 7ème art en Tunisie depuis l’Indépendance. La production tunisienne étonne par le nombre et la diversité de style de ses réalisateurs. Leur liberté de ton tranche dans ce pays qui n’a guère connu de liberté d’expression.
Qu’il s’agisse d’amour ou de politique, les cinéastes tunisiens interrogent sans concession leur société, ses contradictions et ses faiblesses, avec une facilité particulière à se mouvoir entre les cultures.
Les films de la nouvelle génération des cinéastes de ce pays, souvent plus légers, témoignent de leur volonté de s’approprier des thématiques proches des préoccupations quotidiennes de leurs concitoyens.